14 septembre 2006

ATTILA

bonjour les amis, ça va t'y ? oui, non ? On s'en moque car aujourd'hui voici une nouvelle tranche de notre facétieuse (c'est le titre) histoire du monde connu, car oui forcément s'il est pas connu, on en parle pas, logique.

Bon, nous allons ensemble en apprendre un peu plus sur la vie du terrifiant ATTILA, youpi.
Bouh qu'il est laid

Attila de son vrai nom George Fernandez, né vers 420, était issue d'une famille juive du nord du sénégal, son enfance à l'école du quartier de la rue Bernard Menez avait déja fait de lui une terreur auprès de tous les sénégaliens qui étaient à l'école avec lui.

Plus tard, à 18 ans il commença à sortir en boite au FASIDO avec la seule amie qui lui restait, Jeanne d'Arc (voir épisode précédent). Sa mère, Gundrun, devait venir le chercher tous les soirs après l'after au cas ou il y aurait des bagarres. D'ailleurs quand elle le cherchait et qu'elle finissait par le trouver, elle avait toujours la même phrase : "Ah t'y est là mon fils", force est que cette phrase est restée et lui a donc valu par déformation le sobriquet de Attila .


Pour ses 19 ans, à force de se faire virer de toutes les boites il commenca à trainer dans les quartiers sensibles de la banlieue de Mbaqué (chef-lieu du département Qualboli), là il rencontra des voyous avec qui il se lia d'amitié. Ensemble ils attaquaient les casinos et autres macdonalds du coin selon une stratégie bien définie : ils se séparaient en deux bandes pour attaquer sur deux fronts (coup de boule, coup de boule !). Seulement Attila n'avait pas de mémoire et souvent oubliant le nom de ses complices les apellaient les uns pour un groupe et les autres pour l'autre. Au cours d'une virée nocturne, ils tombèrent au nez de la police sarkosticienne, s'en suivit un combat titanesque ou le groupe des autres fut entièrement décimé.
Il ne restait plus que Attila et les uns que les manuels d'histoire de l'époque orthographieront avec un H.

pause, j'ai mal aux mains.

Contraint de s'enfuir, Attila et les uns s'enfuirent.ils allèrent d'Asie en direction de la gaule. Sur leur passage ils décimèrent tout ce qu'ils trouvaient. Ils massacraient veuves et orphelins, les villages étaient brulés, les champs dévastés, les chiens electrocutés, les crevettes écartelées et j'en passe.


Une de leur réputation vient d'un truc tout bête : à l'époque les SODEXHO ne courraient pas la campagne . Ainsi ils ne se nourrissaient bien souvent que de ce qu'ils pouvaient: raviolis de merle, fricassée de sole, civet d'ananas ou autres cheese-chevreuil, n'ayant pas de sanibroyeurs avec eux, ils faisaient ou ils pouvaient et c'était pas toujours très joli à voir, on comprendra aisémment qu'après ça l'herbe ne repoussait pas.


Les années suivantes 435-440 sont marquées par le triomphe des Huns face à l'empire d'Orient suite à des batailles express. Ensuite aussi, les Huns étendent leur empire jusqu'aux Alpes, au Rhin et à la Vistule. Maiiiiiiiiiis mais mais mais les romains n'étaient pas tout à fait d'accord avec les invasions hunnites et ils lancèrent contre les huns une vague d'assaut afin de les contrer.


Alors ATTILA attela son cheval et hata la course pour aller au devant de César (futur inventeur de bouffe pour chat et chien). Il fallu alors toute l'armée romaine pour halter là ATTILA qui hatait la les invasions. Ouah quelle jolie phrase.


Les Huns de terrible réputation sont battus aux environs du 20 juin 451, en un lieu que les chroniqueurs ont appelé «Champs Catalauniques» parce qu'ils le situaient aux environs de Châlons-en-Champagne. ça c'était pour la partie intello
.

Attila s'en retourne vers la Pannonie et la région du Danube avec ses troupes, ses trésors, ses troupeaux, ses femmes et ses serviteurs et sa gamecube. Il meurt peu après, victime d'une attaque d'apoplexie à moins qu'il n'ait été assassiné par sa concubine de la nuit, la vilaine.
En même temps vu les moeurs qu'il avait on imagine le pire.
( ouille la pauvre, elle a due dérouiller)



Voilà sinon il faut savoir que ce type était un malade, qu'il à tué son frêre au combat, qu'il à massacré plein de gens biens et tout et tout. Le furieux est même soupsconné d'avoir participé au massacre de la saint barthélemy de vendée du 11 novembre 1914, mais ça j'en doute.



voilà cela s'est passé comme ça, enfin je crois...
a bientôt pour une nouvelle histoire de onc' jissé


05 septembre 2006

la vie érotique de JEANNE D'ARC




bonjour les amis alors aujourd'hui nous attaquons un gros morceau (façon de parler, bien sûr) car nous allons redécouvrir ensemble la vie de la pucelle d'orléans, j'ai nommé JEANNE D'ARC.

née en janvier 1412 à Domremy, fille de daniel et mireille darc (*), elle était la benjamine de 5 enfants qui étaient tous plus jeunes qu'elle. 3 frères et 2 soeurs. Sa jeunesse se passait assez bien, entre les virées en mob et les sorties nocturnes à la boite de Doremy (le fasido) jusqu'à ce qu'un beau jour les anglais débarquent et décident de massacrer sa famille sous ses yeux alors qu'elle était cachée dans le placard à balai car ses soeurs refusaient qu'elle vienne en boite avec elles, une vague histoire de pantouffle de verre...

Dès lors, traumatisée, elle fut adoptée par une famille de bourgeois orléanais, la famille TARUS, ce qui fit et ça beaucoup de gens l'ignorent que son nouveau nom était JEANNE D'ARC TARUS, ses beaux parents ALCOR et VENUSIA la trouvaient bizarre et la menait souvent à l'église pour qu'elle se confie à DIEU, ce qui la fit devenir très croyante.
Mais c'est vrai que déja par moment elle avait tendance à péter une durite : lorsque son acnée se déclara elle se mit à galoper à travers tout ORLEANS en criant "boutons, boutons, boutons"

Hors vous ne l'ignorez pas, chers lecteurs, tout ceci se passe durant la guerre de 100 ans, et l'envahisseur ANGLAIS était aux portes de la FRANCE mais ils n'avaient pas encore trouvés la clef.

A force de l'entendre hurler "boutons!" les villageois prirent fait et cause pour la jeune JEANNE et crurent qu'elle en voulait aux ANGLAIS, c'est ainsi que malgré elle, elle se trouva à la tête d'une armée prète à partir en conquète contre l'envahisseur, malgré les reticenses de CHARLES VII, qui lui ne voyait pas d'un très bon oeil ce nouveau mouvement, en effet il était borgne.

Finalement prise dans l'euphorie, elle réussit à le convaincre de sa bonne foi et il lui donna carte blanche, bien lui en pris car grâce à un courage exceptionnel et à des alliés de feu elle reussit à boutter les anglais hors d'Oleans, puis ce fut au tour de Troyes d’Auxerre et de Châlon permettant ainsi l’ouverture de la route de Reims. Ainsi, le 17 juillet 1429, Charles VII y fut sacré selon le cérémonial traditionnel par l’évêque qui consiste en une gigantesque barmitzva.

Mais malgré son courage, ce n'était qu'une faible femme, et au bout d'un moment les ANGLAIS en avez assez de prendre des roustes, alors les Anglais avaient trouvés une parade, ils savaient que tous les 28 du mois Jeanne n'étaient pas très en forme, alors ils en profitèrent pour attaquer. D'ou l'expression : "les Anglais ont débarqués". JEANNE commença à accuser les défaites, et le roi qui ne l'aimait pas et qui s'était jurer de la dépuceler en profita pour la faire arréter sous motif qu'elle commençait à accumuler les morts derrière elle.

De plus depuis un bon moment tout le monde la trouvait bizarre car elle semblait parler toute seule, en effet elle avait sur elle en permanence un tout petit balladeur MP3 qui selon elle lui transmettait des voix célestes censées l'aider dans sa quète et à l'époque le téléchargement illégal n'avait pas fait encore d'émules (ohohoh) Elle commencait à inquiéter beaucoup de monde.

Après diverses tentatives d'évasions elle fut transférée au chateau d'ARRAS.L’évêque de Beauvais dit Pierre Cauchon avait été « choisi » pour présider le procès de Jeanne car celle-ci était accusée d'héresie, elle parlait à DIEU, les curés n'aimait pas ça.

S'en suivit un procès très long à ROUEN car ses accusateurs cherchaient désespèremment d'autres motifs de comdamnation qu'ils ne trouvaient pas, finalement à part les voix, on lui reprocha de s'habiller en homme (véridique) et pas en mini jupe string-dentelle (un peu moins véridique).
Finalement au bout de plusieurs mois elle reconnut, pour éviter le bucher (y avait pas de micro-ondes et ça risquait de faire long) tout ce qu'on lui reprochait et signa une déclaration de reconnaissage de tort.

Mais à la suite d'une nouvelle écoute de voix elle se retracta et décida de revenir sur ses déclarations. C'est ainsi que le tribuna qui commençait à en avoir ras la patatel la confia au bras séculier (sorte de 3e bras à l'abri de l'eau), et qu'elle fut mise au bucher par l'abbé CAUCHON, ce qui nous permit de dire que ce jour là ça sentait drolement le cochon grillé à ROUEN.

En fait on ne l'appris que bien plus tard grâce aux recherches d'HAROUN TAZIEFF son balladeur était branché sur la fréquence de NRJ ce qui lui faisait bien souvent faire et dire n'importe quoi, une brave fille est morte suite à un malencontreux réglage de FM, triste non ?


Alors me direz vous, je vous vois venir, pourquoi dans le titre y a t'il marqué qu'il s'agit de la vie érotique de JEANNE D'ARC, en fait pour rien c'était juste pour attirer votre attention, voilà qui est fait et je vous en remercie.




(*) Après vérifications il semblerait que vu l'age canonique de Mireille d'arc jeanne soit bien sa fille.

voilà cela s'est passé comme ça, enfin je crois...
a bientôt pour une nouvelle histoire de onc' jissé